Moment d'horreur pour un blogueur
Drame, catastrophe, que dis-je, cataclysme (1): il s'est passé avant-hier une chose peu agréable.
J'avais écrit la plus large part d'une entrée assez (très) longue (avec plein de photos), décemment tournée, je crois, en tout cas, pas pire bien, et puis, soudainement, je me rends compte, comme d'habitude, que je dois laisser le tout en plan et filer pour arriver à temps à un rendez-vous.
Je décide donc de mettre en ligne ce que j'avais fait jusque là. Mais, horreur, consternation, je découvre, affolé, que tout le contenu de mon entrée a été détruit par le logiciel que j'utilisais pour la créer (c'était la deuxième et dernière fois que je me servais de ce logiciel). Il ne s'agit pas d'une erreur de ma part: le programme a simplement décidé de tout oblitérer, sans préavis. J'ai tenté de trouver un moyen de récupérer quelque chose — en vain. J'ai finalement constaté que les données étaient irrévocablement perdues.
Argh.
Pouish.
Je ne sais pas trop si je vais récupérer des trucs qui apparaissaient dans l'entrée originale... Je n'ai pas vraiment le goût de ressasser le tout... Quoique ça avait l'avantage de me mettre à jour: ce contretemps fait en sorte que l'instant d'éclosion de mes idées devient de plus en plus éloigné du moment où celles-ci seraient commises sur la page, that is, si je décide de leur donner une seconde chance — un sentiment désagréable, je vous assure. En d'autres mots, j'ai un gros backlog (blog... pouih) d'impressions en suspension dans des zones de ma conscience que je souhaiterais vider pour faire place à du nouveau... — et plus prosaïquement, de photos uploadées que je souhaiterais utiliser. En plus, comme c'est souvent le cas dans ce genre de situation, l'anicroche a semblé mettre la table pour une série d'autres petits désagréments (alors que tout semblait bien se placer, avant ça). En tout cas...
OK, il faut vraiment que j'aille pratiquer (pardon, travailler...) un peu, maintenant; faut que je me branche sur une/des études de Debussy.
On va voir ce qui arrivera pour la suite des choses quand la suite arrivera...
(1): Évidemment, pour ceux qui n'auraient pas activé leur détecteur d'exagérations (un comportement fort peu prudent pour tout visiteur de cette page, que je ne m'expliquerais pas, d'ailleurs), sachez que j'hyperbolise. Je sais pertinemment que ce petit pépin est d'une importance somme toute minime. Mais, bon, n'empêche que ça m'a suprêmement fait chier sur le moment et que ça a eu pour effet de refroidir quelque peu mon intérêt pour le blogue, dans l'immédiat. Surtout que je souhaite pratiquer de façon assez soutenue dans les prochains jours — maintenant que j'ai pris le bain lyonnais, il est temps de passer aux Choses Sérieuses; j'ai aussi plusieurs autres trucs à faire dans un avenir rapproché. Donc, re-on va voir ce qui arrivera pour la suite des choses.
À la prochaine!
1 commentaire(s):
Le blogging, c'est difficile, non?
Courage mon brave
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