Besançon est une ville formidable
... de même qu'une ville où l'on peut compter sur de serviables hommes bleus:
Étienne, Laure, J.-B. (frère d'une amie de Laure [et ami-par-ricochet de Laure, est-il besoin de l'expliciter...]) et moi-même, nous avons marché jusqu'à plus soif dans une Besançon irradiée par un soleil qui ne dérougissait pas.
Nous avons notamment usé nos semelles sur une belle promenade qui longe le Doubs.
À Besançon, une signalétique exemplaire nous indique en tous temps la voie à suivre.
Soucieuse de fournir une information de qualité extraite directement à la source, l'équipe de Lyonnaiseries-section Besançon a gravi les marches enchâssées dans les fortifications que vous avez aperçues sur la photo de la promenade. D'ailleurs... attendez — mais... oui! La voilà, c'est bien l'équipe de Lyonnaiseries-section Besançon (amputée d'un de ses membres):
La voici maintenant attablée à un café, en pleine discussion post-repas (très bon, d'ailleurs, le repas):
Le lecteur attentif aura peut-être entraperçu dans le coin supérieur droit de la précédente image une ardoise. En voici un cliché plus large:
Malheureusement, ce n'est qu'au moment de quitter que mon regard s'est porté vers la dernière inscription du tableau. Sinon, vous pouvez être sûr que j'aurais mis à l'essai le vignoble Guillaume 2000. [Petit googlage...] Apparemment, le vignoble Guillaume — qui produit en vin blanc du Chardonnay, du Sauvignon ainsi que du Rosé, du Pinot Noir et du Gamay en vin rouge — a remporté tout plein de prix... Parlant de vin, je m'en voudrais de passer sous silence un endroit fort sympa où l'équipe de Lyonnaiseries-section Besançon a fait halte. Ça s'appelle Les zins-zins du vin. Si jamais les hasards de la vie vous portent vers Besançon, une visite s'impose. Les gens qui tiennent la place sont sympathiques et diserts; ils ont plein de bonnes bouteilles qu'on ne connaît pas; le décor est bien (un des murs est presque entièrement recouvert de bouchons de liège; la carte de dégustation est encadrée par des bouchons de liège; le... — vous comprenez le principe...). Ils se sont aussi lancés dans la production de leur propre vin.
Le lendemain, mon frère devait prendre le train pour Paris, où l'attendait l'avion du retour. Nous nous levons donc (il faut bien). Les lueurs de l'aurore ont à peine commencé à se faire voir. Malgré ma présence, le train part à l'heure prévue.
Puisqu'il est tôt, très tôt... et qu'il serait bête — non, égoïste — de ne pas partager avec le reste de l'humanité notre humeur ultramatinale, Laure et moi décidons d'investir le domicile J.-B.-esque, qui, pour les besoins de la cause, symbolisera ici l'humanité. Mais non, nous ne sommes pas tout simplement débarqués comme ça chez lui — nous lui avons téléphoné, et puis nous lui avons dit que nous serions là dans 15 minutes, voilà. Nous ne sommes pas des sauvages, quand même...
Arrivée chez J.-B.; nous sommes porteurs de journaux et de viennoiseries — J.-B. offre le café et la musique. Le temps est meublé par force déconnage — à l'image de tout le séjour bisontin, d'ailleurs (le « bisontin » est authentique, en passant). Robert John-son! (Et aussi... Moondog!) Et puis, c'était reparti pour une autre journée de promenade sous le soleil — nous avons eu une fois de plus l'occasion de vivre le paradoxe énergétique du soleil (on est revigoré sous le coup, mais à la fin de la journée, on est complètement claqué...)
Je conclus ce reportage avec des images des correspondants J.-B. et Laure, en pleine harmonie avec la nature bisontine:
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