Gros programme en perspective... J'espère que vous avez fait le plein de
chocolate frosted sugar bombs (salut Mathieu!)...
Écrit samedi (enfin, pas tout à fait, mais bon...):
Je reviens du théââââtre (de la Croix-Rousse), où je suis allé voir
Les bonnes de Jean Genet (pour ceux qui ne connaissent pas l'argument de la pièce, un résumé rudimentaire: deux soeurs tourmentées par la relation amour/haine qu'elles entretiennent avec leur patronne projettent son assassinat.) C'était « pas mal ».
J'ai encore en tête le souvenir d'une scène qu'avaient présenté deux étudiantes dans le cours de théâtre au cégep. En fait, je ne me souviens pas le moins du monde de ce qui figurait dans cette scène, mais je peux me remémorer avec assez de détail l'apparence des deux « actrices », leurs gestes, le ton de leur voix, etc. Je me rappelle surtout avoir été supris par l'aplomb qu'elles avaient manifesté; c'était vraiment bien! En tout cas, tel en est mon souvenir, sûrement magnifié par le temps, comme le sont tous les souvenirs. J'interromps ici ce rappel, sinon j'aurai tôt fait de me lancer dans une métaphysique proustienne de la mémoire... Et ces entrées sont déjà bien assez exaspérantes...
Si je raconte ceci, c'est parce que c'est probablement ce souvenir qui m'a, en grande partie, motivé à aller voir le pestacle, dont c'était la dernière représentation ce soir-là. Je trouve cet état de fait absolument fascinant, mais je m'abstiens une fois de plus de m'étendre sur le sujet. (Si vous voulez, on fera un brainstorming à mon retour pour fouiller le sujet. À fond. D'épais marqueurs seront utilisés et des petits dinosaures serviront de modèles pour représenter sous une forme plus accessible les concepts hermétiques qui surgiront.
Enticing, non?)
Je reviens à la pièce comme telle. C'était « pas mal », ai-je dit; la tiédeur de ma réaction s'explique par le fait que je n'ai pas été vraiment convaincu de la pertinence de la
gimmick du metteur en scène, c'est-à-dire faire jouer le rôle de
Madame par un homme (en fait, le metteur en scène lui-même joue le rôle), ce qui teinte évidemment toute la pièce, même si le personnage n'apparaît qu'après que se soit écoulé un bon moment. L'artifice rajoutait une dimension burlesque qui, selon moi, faisait jurer le pathos de la pièce. C'est une « déviation interprétative » qui me paraît assez superficielle. C'est le principe de
l'angle nouveau, moderne, qui révolutionnera notre vision d'un texte archiconnu... et qui fera la renommée du metteur en scène, qui souhaite imprimer sa patte/griffe/une quelconque extrémité. Ça me fait un peu penser à un bout du dernier film de Woody Allen, que j'ai vu ici. Un acteur raté explique sa conception d'un personnage qu'il envisage de jouer: « But I think I have a good
angle, you know? I'll play him
with a limp. » (Cité de mémoire.) Et cet
insight interprétatif ridicule sera répété pour plusieurs rôles, ce qui rend la chose assez comique. Donc, pour revenir à la pièce, le traitement choisi faisait naître en moi la question cinglante de la possibilité de croire réellement aux déchirures des deux (bonnes) soeurs. Je crois que les éléments comiques — bien réels — que renferme le texte de
Madame sont beaucoup plus efficaces si l'on s'en tient à faire poindre chez le spectateur de discrets sourires, en sourdine. En projetant ces éléments à l'avant-plan avec une
gimmick burlesque, l'équilibre dramatique du texte entier se trouve perturbé. Mais certains ont beaucoup aimé, je crois. La « réception critique » a été pas mal bonne, si je ne m'abuse.
De gustibus non est disputandum.
Bon, assez de mise en scène de salon, assez joué le
armchair director... J'ai malgré tout apprécié l'expérience du spectacle. Et puis ça ne m'a pas coûté un centime...
(En parlant de centimes, j'ai encore un peu de difficulté à jongler rapidement avec les petites pièces de monnaie... Un jour, peu après mon arrivée, j'ai pris un moment pour disposer toute la monnaie que j'avais sur une table (un peu comme feu un personnage de Marc Labrèche...) et analyser ce qui se trouvait devant moi, me disant, « Ça va faire le niaisage: ordre et manipulation optimale de la petite monnaie il y aura, foi de canard ! » Il s'avère que le système est tout à fait logique: les dimensions rétrécissent de façon régulière au fur et à mesure que le montant diminue — correspondance entre 1/2/5 et 10/20/50 — et des différences de couleur permettent de distinguer unités des dizaines, mais, malgré tout, ce n'est pas encore assimilé, faut vraiment que ça se passe
intérieurement,
physiquement, v'voyez ce que je veux dire, tsé-veux-dire?)
Donc. Oui. En faisant la file pour la billetterie, une fille me propose un billet — elle en avait deux, et son ami n'a pu se rendre. Après une petite hésitation (elle m'avait prévenu que les places étaient au fond et, ne connaissant pas l'endroit, je ne savais pas ce que ça représentait), j'accepte. Quand je lui demande combien je lui dois, elle me dit que je n'ai rien à lui rendre. Ah ben coudonc, merci beaucoup!
Toujours dans le merveilleux monde monétaire: comble de surprise, sur le chemin du retour, que n'apercois-je pas, mais un billet de 10 euros traînant par terre... En chair et en papier. Je jette un coup d'oeil autour de moi, je cherche quelqu'un qui aurait pu l'avoir égaré; je trouve personne. Je le ramasse... Bon, je chercherai quelque Juste Cause que le Philanthropique Guillaume pourrait Généreusement Soutenir par la Courtoisie des esprits de la mégarde qui rôdaient ce soir-là, rue Henri-Gorjus. (En passant, oui, les Français se trouvent aussi bons et généreux que nous d'aider si merveilleusement toute l'Asie du sud-est.)
Suite et fin (? hmmm... non, j'aurai pas le temps, je crois...) de la saga photo.
Après les hauteurs de Fourvière et des Théâtres, descente vers le vieux Lyon. Les toits de Lyon (en tout cas, quelques-uns), l'escalier menant à la rue Saint-Jean (si je me souviens bien).
Argh, ça ferme. Bon. Sioux Saône.
Dimanche?
Pas même eu le temps de « publier » mon entrée samedi soir... Je crois que le type du café a éteint la borne « Wi-Fi » avant que je ne puisse commettre quoi que ce soit.
C'est pas
si pire, l'étude pour les accords. Si la tendance se maintient, je devrais arriver à quelque chose de potable dans un avenir prochain. Par ailleurs, toujours du fil à retordre avec les descentes de quartes... Ça va prendre un certain nombre de torsions avant d'en venir à bout, je crois...
Oh! De la neige aujourd'hui! (lundi). Un
mince voile, en tout cas. Je pensais plus jamais en revoir... Le temps avait été diablement pluvieux depuis, hmm, Dieu sait quand. Cette variation météorologique est des plus agréables, si discrètement affirmée soit-elle.
Mardi.
Hier, je suis allé à l'
opéra. En faisant la file pour la billetterie, je me fais proposer un billet pour une très bonne place, bien en deçà de sa valeur réelle. Je réponds que je cherche à avoir un billet pas cher (il est possible d'avoir des places à 8 euros, mais ce n'était pas garanti qu'il en resterait — c'était maintenant
T-minus 5 minutes, théoriquement). Une autre personne m'offre un billet, cette fois à 8 euros. Super, je dis. Elle m'avertit toutefois qu'il n'y a pas de surtitres pour cette place. « Ça vous gêne? » Eh, oui, ça me gêne... Retour à la case départ. Pendant ce temps, la fille qui me proposait son « super billet » revient à la charge quelques fois. Je tente de dealer à un prix que je croyais l'avoir entendu dire. Je finis par lui acheter à 20 euros. 3e balcon, directement au centre: c'était effectivement une bonne place.
Comment c'était? Bien, bien. L'orchestre (très réduit: c'est Monteverdi...) était très bien. Distribution à la hauteur, j'imagine, mais bon, je suis très loin d'être un spécialiste... Drusilla me semblait la plus solide, vocalement. Poppée était superbe (plastiquement). Par ailleurs, j'ai toujours de la difficulté à digérer les contre-ténors, surtout celui d'hier. Un ensemble de « blocs modulaires » à l'aspect relativement abstrait composait le décor. Mise en scène relativement sobre et efficace. L'orchestration de Monteverdi, en quelques occasions, pouvait surprendre: un effet fantomatique avec flûte, orgue et pizz des violons (si je me souviens bien...?), en particulier, était des plus évocateurs. Parmi les autres traits marquants, une figuration récurrente dans les cadences importantes des chanteurs me surprenait presque à tout coup: l'apparition du troisième degré « minorisé », en fait, appoggiature de l'appoggiature de la tonique (
mi bémol, ré, do, dans un contexte on ne peut plus
do majeur). Une sorte de tierce de picardie à l'envers. Au final, je dois cependant avouer avoir trouvé le temps un peu long... C'est bien beau, un délicat combo théorbe (sorte de luth)/harpe qui se vautre dans les demi-cadences à ne plus savoir qu'en faire, mais rendu à un certain point, justement, une limite est atteinte... Pour moi, en tout cas. Tout de même un très bon moment
a été eu. Et l'Opéra de Lyon est vraiment superbe, intérieur comme extérieur.
Le prochain opéra au programme est
Le roi malgré lui de Chabrier. Intrigant...
Fin du smorgasbord?
Okey-dokey.
Voici une photo d'une traboule. De kessé? Simplement un passage reliant une rue à une autre, à l'intérieur d'un pâté de maisons. Une entente lie propriétaires et la ville pour l'entretien des lieux. C'est vraiment un truc propre à Lyon. Et c'est dans le très cool.
Toujours à l'intérieur d'une traboule:
À l'intérieur, une horloge qui a retenu mon attention:
Retour au premier arrondissement, à la
place Terreaux (où se trouve l'Hôtel de ville). La fontaine Bartholdi, qui représente la Garonne et ses 4 affluents se jetant dans l'océan:
Voici justement l'Hôtel de ville:
Je termine avec deux photos de l'Opéra:
That's all folks!
Je plugge ici un début de chronique ciné que j'ai pondu Dieu sait quand... Voici-voilà.
J'ai beau être à l'étranger et cela a beau me plonger à corps perdu dans la découverte de l'Inconnu (appréciez la solennité installée par l'apparition troublante de la majuscule) et provoquer un considérable remaniement de mes habitudes, il n'en reste pas moins que la puissance persuasive de certains besoins ressentis par ma personne montréalaise est demeurée inaltérée une fois l'Atlantique traversé.
Bref, je suis allé voir « quelques » films depuis mon arrivée.
Lyon semble être une bonne ville pour les cinéphiles. C'est quand même le lieu de naissance du cinéma! C'est ici que les frères Lumière ont mis au point leur invention et qu'ils ont tourné leurs premières séquences (
La sortie de l'usine Lumière). En ces lieux (le hangar de la famille Lumière) fut construit l'Institut Lumière, qui a une vocation de cinémathèque. Et je n'y suis même pas encore allé! Présentement, il y a par exemple deux rétrospectives: Kurosawa et Billy Wilder. Une visite ne saurait tarder...
Faut dire que je suis pas mal occupé à suivre les films actuels/que j'ai ratés chez nous... Évidemment, le calendrier des sorties est fort différent de celui du Québec, ce qui fait en sorte que certains films sortent ici avant qu'ils ne soient sur les écrans du Québec et vice-versa. Les cinémas intéressants sont relativement proches les uns des autres: il y a le cinéma Ambiance (salle avec grosses sphères d'éclairage orangé...) et le réseau CNP (Cinéma National Populaire; il y a aussi un Théâtre National Populaire). Je vais probablement aussi aller à la Fourmi, qui présente des reprises. Ambiance propose actuellement une rétro Fassbinder et, comme plusieurs autres salles, un festival qui passe en revue les meilleurs films de 2004, tels que colligés par Télérama. La liste:
Saraband (de Bergman; ne joue pas ici parce qu'il n'est présenté que dans des salles avec vidéo HD),
Rois et Reine,
L'esquive,
Lost in Translation,
Les temps qui changent,
La Mauvaise Éducation,
Buongiorno, notte,
La femme est l'avenir de l'homme,
2046,
Clean,
Head-on,
Uzak,
Eternal Sunshine of the Spotless Mind,
S-21, la machine de mort khmère rouge et
Mondovino. Le CNP, quant à lui, dispose de 3 cinémas distincts, tous rapprochés géographiquement. Celui que je fréquente le plus souvent, CNP Terreaux (de la Place Terreaux, adjacente à l'Hôtel de ville), a de petites salles (certainement pas plus de 50 places) et de petits écrans terrés (ha ha...) dans une espèce d'antre vaguement gothique (bon, je veux dire qu'il y a des voûtes...) La programmation est très bonne.
Petit bilan, donc.
Dans la colonne des déceptions, dans l'ordre de visionnement:
2046,
Old Boy,
Melinda & Melinda,
La femme est l'avenir de l'homme
Dans la colonne positive:
Le château ambulant,
L'autre rive,
Rois et reine,
Uzak
Dans la colonne « ? »:
Innocence,
Terre promise
Rapide topo
2046
Le film tant attendu... Il est reparti de Cannes les mains vides... et je peux comprendre pourquoi. Grosse déception.
Résumé: plus ou moins trois histoires d'amour/séduction vécues à Hong-Kong (dans un hôtel qui abrite une certaine chambre 2046) par M. Chow (Tony Leung), un écrivain qui planche sur un récit futuriste (2046).
L'intégration des histoires rattachées au personnage de Tony Leung à une pseudotrame futuriste est risible. Les (constants) effets de ralenti, les regards de la caméra qui s'attarde longuement sur un visage — autant c'était envoûtant dans
In the Mood for Love, autant c'est ici profondément exaspérant. Ai-je dit que la pseudotrame futuriste était risible? Non, j'ai dit que l'intégration était risible; eh bien, la pseudotrame aussi est risible. Finalement, la seule chose qui intéresse Wong Kar-Wai, ce sont des histoires de séduction situées dans les années 50-60. Pas un récit avec une composante futuriste. Qu'il oublie ça, alors. Et même si on excise les quelques éléments pseudo-futuristes (tout de même assez rares, mais ils dégradent le reste du film), on obtient, comme l'ont noté tous les critiques de film, une sorte de calque de
In the Mood for Love. Sauf que la magie n'opère pas. Oui, Zhang Ziyi est magnifique, oui, Tony Leung est un acteur incroyable. Mais ça ne fait pas un film.
Mais bon, certains ont beaucoup aimé. Voici quelques extraits de la présentation du film par le type de Télérama (je vous rappelle qu'il a été sélectionné parmi les meilleurs films de 2004): « frisson jubilatoire, délicieuse chair de poule, intense sourire intérieur ». C'est pas fini: « béatitude émerveillée, une heureuse empathie avec la beauté à l'oeuvre sur l'écran. » Etc. Moi, je pencherais plutôt pour « ennui carabiné ».
Je vous conseille donc de passer; si vous ne l'avez pas vu, louez plutôt
In the Mood for Love.
Old Boy
Autre film asiatique (coréen, cette fois) en compétition à Cannes 2004,
Old Boy a été plus chanceux: il a remporté le Grand Prix (le deuxième en importance).
C'est adapté d'une manga. Une histoire de double vengeance (vengeance de la vengeance). Un homme est kidnappé sans raison immédiatement apparente; il est maintenu prisonnier pendant 15 ans. Une fois sorti, il cherche le responsable de son calvaire et veut se venger. Oh que ça va brasser dans les chaumières, mes amis. Sauf que ça ne sera pas aussi simple que ça en a l'air. Oh que non. Hmm. Tout ça m'a laissé bien froid. Du sous-Tarantino, sans le fabuleux sens du timing/rythme, ni le superbe instinct visuel, ni le piment de dialogues originaux — bref, sans grand chose, finalement — de l'émulé. Mais c'est tout de même Tarantino qui lui a décerné, à titre de président du jury, le Grand Prix...
Melinda & Melinda
L'offrande annuelle de Woody. Les critiques français ont été très indulgents à l'égard du film, je trouve, même si aucun ne s'est véritablement répandu en éloges. Il y a comme une « relation privilégiée » entre Woody Allen et les Français... N'a-t-il pas encore été invité à présider le jury de Cannes? Ça ne saurait tarder...
Le concept de base? Un groupe d'amis discutent des mérites respectifs de la tragédie et de la comédie. Deux auteurs (un auteur versé dans le tragique et un autre, dans le comique) imaginent deux histoires distinctes tournant autour d'une même prémisse de base — une femme troublée débarque à l'improviste dans un souper. Les deux versants sont présentés en alternance; de petits détails sont partagés entre les deux histoires, mais sont positionnés différemment ou présentés dans un autre contexte, une sorte d'appropriation, en beaucoup moins troublant et fascinant, du modus operandi de Mulholland Drive.
Poussif, poussif... L'histoire comique n'est pas particulièrement drôle. Évidemment (ça fait de nombreuses années qu'une telle récupération s'opère), on retrouve des situations recyclées: par exemple, le cauchemar que représente la campagne pour l'énième incarnation de l'alter ego de Woody Allen. Et, apparemment, Woody pense toujours que des artistes dans une situation financière précaire (c'est même souligné en gras dans le film) habitent de luxueux appartements à Manhattan. C'est pas tout le monde qui passe le Nouvel An au Ritz, Woody.
Le film précédent,
Anything Else, m'avait semblé supérieur; Christina Ricci insufflait, me semble-t-il, un peu plus de vie à l'ensemble. On lit très souvent dans les articles récents sur les films de Woody qu'il s'était quelque peu égaré dans sa série de films comiques (
Small Time Crooks,
The Curse of the Jade Scorpion et
Hollywood Ending). Je préfère personnellement ces comédies, légères, certes, mais divertissantes à un truc comme
Melinda & Melinda (à l'exception d'
Hollywood Ending, que je n'ai vraiment pas aimé).
La femme est l'avenir de l'homme
Un autre film coréen présenté au dernier festival de Cannes. Pas de prix, si je ne m'abuse.
Deux amis se retrouvent et, à la faveur de l'alcool, se remémorent certains souvenirs, notamment leurs aventures respectives avec une même femme. Saouls, ils décident d'aller la rencontrer.
Bof. Dull. Rien de vraiment mauvais, rien de vraiment accrocheur, non plus, dans ce film.
D'ailleurs, aucun de ces films n'est une véritable atrocité, une nullité absolue. Et ils ont certainement des « redeeming features », des qualités salvatrices. Ils vont sûrement être relativement bien reçus (j'ai l'impression que
2046 et
Old Boy seront cotés 3 par Médiafilm — peut-être même
La femme...). Mais, globalement, avoir su, j'aurais pas venu.
Fin de la chronique ciné.
Demain, je suis invité chez Géry pour un pot, ce qui me permettra de faire plus ample connaissance avec sa classe. Juste avant le départ pour Freiburg, vendredi, donc à un moment idoine. Sympa.
J'espère que vous vous portez bien, vous tous et toutes.
Ciao!